Introduit au Canada et aux États-Unis par la France via l’Angleterre, ce style tire son nom du second Empire français, le règne de Napoléon III (1852-1870). Il était couramment utilisé pour les bâtiments publics, notamment ceux conçus par le ministère fédéral des Travaux publics, mais aussi pour les maisons et les établissements d’enseignement. L’Église catholique romaine a adopté ce style pour ses couvents et ses écoles, jusqu’au XXe siècle.
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Équilibre de la composition par rapport à un point de référence comme un axe central imaginaire dessiné dans le plan ou la façade.
Partie d’une façade mise en évidence parce qu’elle fait saillie par rapport au reste; le pavillon est souvent plus haut ou plus bas que la façade et a son propre toit, et il est généralement situé au centre ou à l’une des deux extrémités d’une façade, ou encore aux deux extrémités.
Saillie couverte d’un toit en pente, souvent dotée d’une fenêtre.
Élément décoratif qui définit les bords, les joints ou les surfaces par l’utilisation d’un profil continu.
Le haut d’une ouverture de fenêtre ou de porte.
Pierre ou brique utilisée pour souligner de manière décorative les angles extérieurs d’un bâtiment.
Bande mince et horizontale qui fait saillie sur un mur extérieur, souvent au niveau de l’appui de fenêtre ou du plancher intérieur.
